Steun ons in het gevecht voor het leven


Melissa vecht al jaren en kreeg net een levensreddende operatie. De medische kosten zijn hoog. Help jij ons gezin?
Mijn naam is Melissa. Ik ben mama van twee fantastische kinderen: een dochter van 14 en een zoontje van 10. Daarnaast ben ik plusmama van twee schatten van kinderen – een plusdochter van 14 en een pluszoon van 11. En drie jaar geleden hebben we ook het neefje van mijn man Bert in huis genomen als pleegzoon, toen hij in een moeilijke thuissituatie zat. We zijn een warm, hecht gezin, en ik vecht elke dag om er voor hen te zijn.
Sinds 2017 sukkelen we van de ene medische crisis in de andere. Alles begon met klachten aan de maag, maar al snel volgden zware diagnoses. In 2017 werden er plekken gevonden op mijn longen, werd de helft van mijn lever verwijderd, en ook mijn baarmoeder. In juli 2024 werden mijn eierstokken weggehaald. En toch bleef ik hopen. Tot het begin van 2025 alles opnieuw misging.
Maandenlang kon ik niet meer eten of drinken. Sinds februari krijg ik dagelijks voeding via een baxter, toegediend door de thuisverpleging – elke ochtend en avond. Mijn lichaam was op. En dan ging het plots mis. Vorige week woensdag werd ik met spoed geopereerd. In mijn maag zat een grote, terugkerende zweer die intussen zowat de volledige maag innam. Er was al een perforatie, en maagzuur lekte in mijn buikholte. De chirurg zei ons eerlijk: “Als we nu niet hadden ingegrepen, had je het einde van deze zomer niet gehaald.”
Deze operatie was mijn derde aan de maag, maar ook mijn laatste. Mijn lichaam kan niet meer geopereerd worden. We hopen nu dat de ziekte niet opnieuw opflakkert. Binnen drie weken proberen we voorzichtig opnieuw vloeibaar te eten en begint een lange revalidatie.
Daarbovenop toonden scans recent ook kleine gezwelletjes in mijn borsten. Alles moet nog onderzocht worden. De toekomst is onzeker. Alles voelt broos. Mijn leven hangt aan een zijden draadje.
Wat het nog moeilijker maakt, is dat onze verzekering weigert tussen te komen. Na het faillissement van onze bakkerij – de zaak van mijn man – moest ik overstappen naar een nieuwe verzekering. Omdat ik in het verleden al ziek was en dit een herval betreft, willen ze nu geen medische kosten meer terugbetalen. Alles komt op onszelf terecht: ziekenhuisopnames, voeding, baxters, verpleging, medicatie…
Gelukkig sta ik er niet alleen voor.
Mijn ouders zijn onze helden. Ze helpen op elk vlak: praktisch, financieel, emotioneel. Ze zijn onze rots en reispartner. Dankzij hen kunnen we in januari 2026 nog eens met het gezin op reis, iets om naar uit te kijken na een jaar vol pijn en verdriet.
Ook de ouders van Bert zijn goud waard. Zijn mama zorgt voor het strijkwerk, vangt de kinderen op, en helpt waar ze kan.
Hun liefde en steun dragen ons.
En dan is er Bert, mijn man.
Hij werkt elke dag keihard om ons gezin draaiende te houden. Hij is mijn steun en toeverlaat. Tijdens de ziekenhuisopnames was hij elk moment dat het mocht aan mijn zijde. Hij doet alles met liefde, zonder klagen, en is er altijd. Zijn aanwezigheid betekent alles voor mij.
Ik ben op. Fysiek en emotioneel.
Maar ik wil niet opgeven. Ik wil blijven vechten. Voor mijn kinderen. Voor Bert. Voor ons gezin. Voor mezelf.
Daarom vraag ik jullie steun. Met een klein hartje.
Elke euro, elke boodschap, elke vorm van hulp maakt een wereld van verschil.
Dankjewel om dit te lezen. Dankjewel voor je warmte, je steun, je hart.
Liefs,
Melissa
Depuis 2017, je suis malade. En réalité, ça a commencé bien avant, mais c'est cette année-là que la véritable lutte a commencé. Ce qui semblait être de simples maux d’estomac s’est rapidement transformé en un long calvaire de douleurs, hospitalisations, examens, opérations et incertitudes.
Je suis maman de deux enfants formidables : une fille de quatorze ans et un garçon de dix ans. J’ai aussi la chance d’avoir deux beaux-enfants dans ma vie – une belle-fille de quatorze ans et un beau-fils de onze ans. Quatre trésors qui sont ma force et ma motivation chaque jour, malgré ce que je traverse physiquement et émotionnellement.
Il y a trois ans, nous avons également accueilli notre neveu, le fils aîné du frère de Bert, en tant que fils d’accueil. Il vivait une très mauvaise situation familiale, et nous voulions lui offrir un foyer stable et chaleureux. Il fait désormais partie de notre famille.
Heureusement, je ne suis pas seule dans cette épreuve. Mes formidables parents font énormément pour nous — sur tous les plans. Ils sont toujours là, même financièrement, et notre soutien indéfectible. Grâce à eux, nous pouvons espérer un peu de normalité : en janvier 2026, nous pourrons enfin partir en famille, pour souffler après une année de douleurs atroces et de tristesse.
Les parents de Bert nous apportent eux aussi une aide précieuse : sa maman s’occupe du ménage, du repassage et entoure nos enfants d’amour chaque jour. Leur soutien permet à notre famille de tenir dans cette période difficile.
En août 2024, j’ai dû dire adieu à ma chère grand-maman. Avec ma maman, j’ai eu le dernier privilège de l’habiller. Ce moment me serre le cœur chaque jour. Je pense si souvent à elle… son absence est immense dans ma lutte actuelle.
En 2017, des taches ont été détectées sur mes poumons. La même année, on a retiré la moitié de mon foie malade ainsi que mon utérus. En juillet 2024, on m’a enlevé les ovaires. À chaque fois, j’espérais que ce serait la guérison… mais la maladie revenait toujours, encore plus forte.
Après ces années de recherches, les médecins ont enfin confirmé que j’ai des métastases cancéreuses. Une de ces conséquences a été un ulcère gastrique qui a envahi tout mon estomac et provoqué une perforation. Cela faisait des mois que je ne pouvais plus manger ni boire. Depuis février 2025, je dépend d’une alimentation par perfusion à domicile, matin et soir, assurée par les infirmières. Ce rituel fait désormais partie de mon quotidien.
Mercredi dernier, j’ai subi une opération en urgence (la troisième de ma vie au niveau gastrique). Le chirurgien m’a dit après l’intervention que c’était la dernière possible : mon corps ne supporterait pas une quatrième. Si l’on n’était pas intervenues, je n’aurais certainement pas survécu à la fin de l’été. Ces mots me hantent. Ma vie tenait à un fil.
L’opération m’a sauvée, mais je ne suis pas tirée d’affaire pour autant. Dans trois semaines, nous allons doucement commencer à réintroduire des aliments liquides, puis avancer pas à pas vers la rééducation. L’avenir est un peu plus stable qu'il y a une semaine, mais reste fragile. Tout reste incertain.
Comme si ce n’était pas assez, les scans ont montré aussi de petits nodules au niveau de mes seins. Ces lésions seront examinées plus en détail d’ici cette année. Tant d’inconnues pèsent encore...
Et comme si ce n’était pas suffisant, s’ajoute maintenant un cauchemar financier. Après la faillite de notre boulangerie — l’entreprise de mon mari — j’ai dû passer à une nouvelle assurance. Or, comme j’ai déjà été malade par le passé et que ceci est considéré comme une rechute, mon assurance refuse de prendre en charge mes frais médicaux : ni traitements, ni hospitalisations, ni nutrition, ni soins à domicile. Tout est à notre charge.
Les factures s’accumulent. C’est devenu trop lourd à porter… alors que je suis à bout, physiquement et moralement.
Heureusement, j’ai Bert. Mon mari, mon roc. Il se bat chaque jour pour notre famille. Il est présent, sans jamais hésiter. À chaque instant possible, il était à mes côtés à l’hôpital. Son soutien signifie tout pour moi.
Je suis dans un creux. Un vrai creux. Mais je refuse d’abandonner : je veux rester là pour mes enfants, pour Bert, pour notre famille, pour mon fils d’accueil… et pour moi-même.
C’est pourquoi, avec un cœur tremblant, je vous demande votre aide. Chaque euro, chaque mot de soutien compte, apporte un peu d’oxygène à ma lutte. Vous pouvez aussi nous aider via notre vente de biscuits et de bonbons.
Du fond du cœur, merci. Merci pour votre écoute, votre chaleur, votre empathie. Vos gestes et vos mots sont plus puissants que je ne peux l’exprimer.
Avec tout mon amour,
Melissa
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